C'est dans le plus grand des mystères qu'Okala aime à écrire sa musique.
Ce musicien amiénois aussi discret qu'aventureux aime résolument les chemins escarpés qu'il emprunte aujourd'hui avec audace à travers une musique post-pop alternative, spectrale et scintillante.
Singulièrement poétiques, ses mélodies et arrangements ondulatoires se jouent des codes de la pop, empruntant autant au
registre classique qu'aux textures sonores des années 1990 et à l'Electronica.
C'est dans cet espace-temps distendu qu'il explore sa relation à un monde qui le dépasse, armé d'une voix haut perchée entremêlée de choeurs aux harmonies flamboyantes.
Le son de Okala est aussi onirique que terrestre, aussi immersif que contemplatif,
aussi écorché qu'évanescent.
crédit photo : Rodolphe Parmentier
Ce musicien amiénois aussi discret qu'aventureux aime résolument les chemins escarpés qu'il emprunte aujourd'hui avec audace à travers une musique post-pop alternative, spectrale et scintillante.
Singulièrement poétiques, ses mélodies et arrangements ondulatoires se jouent des codes de la pop, empruntant autant au
registre classique qu'aux textures sonores des années 1990 et à l'Electronica.
C'est dans cet espace-temps distendu qu'il explore sa relation à un monde qui le dépasse, armé d'une voix haut perchée entremêlée de choeurs aux harmonies flamboyantes.
Le son de Okala est aussi onirique que terrestre, aussi immersif que contemplatif,
aussi écorché qu'évanescent.
crédit photo : Rodolphe Parmentier
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